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Les Techniciens

CARIVEN (Marcel)

Chef d'orchestre
Naissance : Toulouse, 18/04/1894
Décès : Crosnes (Essonne), 05/11/1979 (85 ans)
 
Marcel Cariven

 

Photo
Extr. de : Programme original de "L'Auberge qui chante" (Gaîté Lyrique, 1941)
 

 

 

Coll. Jacques Gana

Marcel Cariven

 

Photo Vandamme
Extr. de : Programme original de "Trois valses" (reprise, Gaîté Lyrique, 1952)
 

 

 

Coll. Jacques Gana

Marcel Cariven, chef d'orchestre des Bouffes-Parisiens

 

Photo Louis Roosen
Extr. de : Programme original de "O mon bel inconnu" (Bouffes Parisiens, 1933)
 

 

 

Coll. Jacques Gana

Marcel Cariven, chef d'orchestre

 

Photo Louis Roosen
Extr. de : Programme original de "Pour ton bonheur" (Bouffes Parisiens, 1935)
 

 

 

Coll. Jacques Gana

Oeuvres

    2026 j.
Azor 1932 direction musicale 166 J.
La Pouponnière 1932 direction musicale 92 J.
Un Soir de réveillon 1932 direction musicale 191 J.
O mon bel inconnu 1933 direction musicale 92 J.
Toi c'est moi 1934 direction musicale 359 J.
Le Bonheur, Mesdames ! 1934 direction musicale 210 J.
Pour ton bonheur 1935 direction musicale 38 J.
Trente et quarante 1935 direction musicale 24 J.
Simone est comme ça 1936 direction musicale 53 J.
Normandie 1936 direction musicale 95 J.
Ma petite amie 1937 direction musicale 75 J.
Trois valses 1937 direction musicale 431 J.
Les Petites Cardinal 1938 direction musicale 44 J.
L' Auberge qui chante 1941 direction musicale 156 J.
Ses deux principaux titres de gloire furent d'avoir été, de 1932 à 1938, chef d'orchestre de toutes les pièces représentées aux Bouffes Parisiens (et orchestrateur de plusieurs d'entre elles), où il prenait la suite d'Edouard Bervily, puis, à partir de la création de la Radio Lyrique en 1947 d'avoir présidé à l'enregistrement d'un nombre important d'opérettes classiques et modernes jusque vers 1972.

On est partagé à son sujet entre la reconnaissance d'avoir servi aussi longtemps le répertoire, et la réticence devant la médiocrité de ses enregistrements pour la radio.

Non seulement les prétendues "intégrales" des pièces étaient tronquées, souvent à la hache et de façon injustifiée, mais sa direction était plus que nonchalante, multipliant les à-peu-près rythmiques et les fausses notes.

On pourrait bien sûr en tenir pour responsable la direction de la radio, qui devait pousser les artistes à chanter sans répétitions, vite fait mal fait.

Cependant, on ne constate pas un tel laisser aller chez ses concurrents radiophoniques à la même époque : Jean Doussard, particulièrement, a laissé des enregistrements d'excellent qualité.

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